Le printemps suivant

La petite histoire du pendule
ou l'histoire d'une invention québécoise

04- Je dois trouver autre chose
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Le printemps suivant, en 1992, j’ai eu l’idée de me servir du trou du pendule (1 1/2 po.) comme perchoir. Le moineau est obligé de traverser le pendule pour accéder au nichoir. En conséquence, il fera tourner le pendule à chaque fois qu'il se présenterait.

Comment pourrait-il en être autrement? Mais encore, fallait-il que l'entrée du pendule soit décentralisée.

Ainsi décentrée, le moineau n’a plus de choix. En se posant à l’entrée du pendule, ce dernier bascule pour ainsi bloquer l’accès au nichoir.

En théorie, l’idée est bonne mais qu'en est-il en pratique?

Le pendule est fabriqué en aluminium, il oscille à merveille, à tel point que les moineaux sont incapables de le traverser. Je croyais avoir gagné la bataille. Hélas ! Les moineaux n'arrivent pas à entrer et les bicolores non plus.

Le trou du pendule devient le perchoir par excellence. Mais encore fallait-il penser à le décentraliser.

Je dois trouver autre chose.